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13 janvier 2006 5 13 /01 /janvier /2006 01:00

-ce week-end marque le début du festival de danse Faits d’Hiver

-et celui de Sons d’Hiver, festival qui apporte toujours son lot d’excellents musiens

-Octopus fait également son festival aux créateurs d’instruments en tous genres au Point Ephémère

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12 janvier 2006 4 12 /01 /janvier /2006 01:00

C’est sans nul doute pour faire écho à l’univers de Ron Mueck que la Fondation Cartier propose dans le cadre de ses soirées nomades de découvrir le Petit Théâtre Baraque. Sous un petit chapiteau d’une capacité totale de 32 places, les spectateurs sont assis en surplomb de la scène circulaire. En bas s’agite une petite troupe de personnages aux allures presque irréelles. L’univers d’Une Case Provisoire c’est celui de l’enfance, de la poésie qui échappe souvent au récit ou à la rationalité. Etant donné la capacité très limitée du lieu, mieux vaut réserver dès maintenant.

Une Case provisoire du Petit Théâtre Baraque, du 17 au 22 janvier 2006 à la Fondation Cartier, 261 boulevard Raspail, Paris 14eme

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11 janvier 2006 3 11 /01 /janvier /2006 01:00

Faits d’Hiver est de ces festivals qui, avec des moyens limités, continuent à proposer une vision différente de la création chorégraphique. Face aux géants qui concentrent la majorité des subventions allouées à la discipline, ce festival atypique peut s’enorgueillir d’avoir su combattre les idées préconçues qui semblent souvent circuler à propos de la danse contemporaine.

Pour cette édition 2006 ce sont donc 9 lieux de diffusion qui présenteront le travail de 15 compagnies entre le 12 janvier au 2 février. La programmation mêle noms reconnus (Christine Bastin et Daniel Larrieu) et chorégraphes émergents pour des formes classiques ou des performances (au Centre d’Art Contemporain de Brétigny-sur-Orge par exemple).

Faits d’Hiver, danses d’auteurs, du 12 janvier au 2 février 2006 dans différents lieux en Ile de France

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10 janvier 2006 2 10 /01 /janvier /2006 01:00

La table est dressée ! Dans la salle centrale du Palais de la Porte Dorée, le dispositif du Festin de Claude Brumachon fait écho à un imaginaire médiévale certain. Assis sur de grandes chaises massives les spectateurs convives se voient servir une danse brute, faite de chutes et de fracas.

Au plus près des corps les sens peuvent s’attacher aux détails d’ordinaire effacés par la distance : le tremblement d’une main, la furtivité d’un regard ou une respiration haletante. La danse de Claude Brumachon a une dimension profondément humaine, toujours au bord de la rupture, à l’image de ces danseurs alignés qui peu à peu fléchissent mais ne tombent pas. On ne regrettera que certains choix musicaux, les morceaux de technos ne trouvant que peu leur place au sein d’une ambiance qui tend majoritairement vers le baroque. On ressort malgré tout rassasié de cette pièce à l’approche si particulière.

Le Festin par Claude Brumachon, Benjamin Lamarche et les danseurs du CCN de Nantes, jusqu'au 14 janvier au Palais de la Porte Dorée, 293 avenue Daumesnil, Paris 12eme.

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9 janvier 2006 1 09 /01 /janvier /2006 01:00

Panopticon.fr publie à partir d’aujourd’hui et de façon quotidienne une sélection des articles les plus récents provenant des publications artistiques de références. Pour la découvrir, rendez-vous sur notre page d’accueil.

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6 janvier 2006 5 06 /01 /janvier /2006 00:46

-Claude Brumachon et le CCN de Nantes vous convient au Festin servi au Palais de la Porte Dorée

-Un dimanche après midi au Palais de Tokyo avec la projection de films documentaires sur Andy Warhol et Robert Malaval

-Figure incontournable de la création chorégraphique américaine, Trisha Brown présente deux programmes différents à l’Opéra de Paris.

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5 janvier 2006 4 05 /01 /janvier /2006 00:00

Discrètement annoncée sur le site du Théâtre du Lierre, la lettre ouverte de Farid Paya au président de la République Jacques Chirac nous était jusque là restée inaperçue. Au cœur du tumulte médiatique qui  devait porter sur le devant de la scène certaines communes de périphérie, la discrète voix du directeur de théâtre ne trouva que peu d’écho. Si la lettre ouverte de Farid Paya nous intéresse encore aujourd’hui ce n’est point pour l’originalité de ses idées mais plus pour la naïveté de ses propos qui n’en paraissent que plus maladroits.

Pourquoi faire de nous les témoins d’une telle correspondance ? A sa lecture nous ne pouvons que ressentir une certaine gêne pour son auteur, directeur d’un lieu par ailleurs admirable, et de qui l’on aurait attendu un point de vue singulier et une rhétorique ciselée. Le silence eût été préférable.

 

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4 janvier 2006 3 04 /01 /janvier /2006 00:00

Il est des initiatives destinées à attirer de nouveaux publics particulièrement originales. En inventant le Passlemoi, le Théatre du Lierre fait montre de son esprit décalé. Le principe du Passlemoi est simple : les internautes peuvent choisir d’adopter un objet (le Passlemoi) qu’ils partageront avec deux de leurs amis durant 3 jours. Ayant promis de faire vivre cet objet, les participants devront en relater les aventures grâce à des textes et photos qui seront publiés sur Internet. Chaque narrateur des folles aventures du Passlemoi se voit bien évidemment offrir des invitations au Théâtre du Lierre. Une communication d’un genre nouveau !

 

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3 janvier 2006 2 03 /01 /janvier /2006 01:00

Ecrit pour le Lyric Opera de Chicago en 1921 par Serge Prokofiev, l’Amour des Trois Oranges a tout d’une farce enfantine. Entrée au répertoire de l’Opéra de Paris dans une mise en scène de Daniel Mesguich en 1983, cette œuvre rocambolesque devait faire l’objet d’une inévitable nouvelle production pour les fêtes de fin d’année. Opéra irrévérencieux  par excellence, l’Amour des Trois Oranges nous est présenté par Gilbert Deflo, le maître d’œuvre de cette nouvelle mise en scène, de manière bien décevante. C’est dans une atmosphère de Commedia dell’arte aseptisée que nous est conté le destin du prince mélancolique dont la seule cure se trouve dans le rire.

De la fantasque bouffonnade promise l’on ne percevra que quelques échappées trop vite avortées vers l’univers circassien. Les personnages, traités de manière peu subtile, s’enfoncent dans  une lourdeur qui n’est pas sans conséquence sur certains aspects du livret. Le rire est gras et facile. La satire n’en est qu’appauvrie.

On prendra garde à l’avenir aux productions offertes par l’Opéra de Paris pendant les fêtes de fin d’année. Qu’elles se cachent derrière un prétexte éhonté d’ouverture au jeune public ou qu’elles visent à satisfaire un public peu exigeant, le résultat est le même : un spectacle sans saveur.

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2 janvier 2006 1 02 /01 /janvier /2006 00:15

Pour cette nouvelle année qui débute, Panopticon.fr offre à ses lecteurs un agenda quotidien des évènements artistiques à ne pas manquer. Ne prétendant en aucun cas être exhaustif, cet agenda présentera les rendez-vous qui, selon nous, méritent votre attention. Chaque jour nous vous inviterons donc à découvrir une sélection mêlant incontournables de la création contemporaine et propositions émanant d'artistes émergents.

L'agenda de Panopticon.fr: une sélection quotidienne de spectacles et d'expositions

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